La
meilleure équipe, la meilleure famille, la meilleure communauté paroissiale,
nous dit Jacques Loew, n’est pas celle qui réunit les membres parfaits mais
celle où chacun et chacune accepte les défauts du voisin et se fait pardonner
les siens. « Qu’as-tu à regarder la
paille qui est dans l’œil de ton voisin alors que la poutre qui est dans le
tien, tu ne la vois pas? »
Aujourd’hui
je prends le temps de me regarder avec mes limites, avec mes défauts, et je
réalise combien les miens ont besoin de bonté pour m’accepter et en même temps
je me sens tolérant, généreux, accueillant envers cette personne qui parfois
m’énerve et m’agace. Mes défauts
personnels me permettent de mieux accepter ceux des autres.
Bonne
journée.
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