Voici
ce que nous dit un sage concernant l’altruisme ou la bienveillance envers les
autres. Ne pas être effrayé par la
pratique de la bienveillance inconditionnelle en se disant que c’est hors de
notre portée. Ne jamais penser « La
souffrance des autres, c’est pas mon affaire ». Ne pas se culpabiliser de ne pas faire ce qui
est au-delà de nos forces, mais se reprocher de détourner le regard quand on
peut agir.
Du
plus bas que l’on parte, la bienveillance et la compassion peuvent se cultiver
comme n’importe quelle aptitude physique ou mentale. Se servir de notre faculté naturelle d’être
bienveillant envers nos proches comme point de départ pour étendre notre
bienveillance au-delà de notre famille et de ceux que nous aimons. « Trois
amis en quête de sagesse, page 346).
La bienveillance, ça se cultive.
Bonne
journée.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire