Savons-nous
que nous sommes faits pour le bonheur et le bonheur éternel? En goûtons-nous quelques instants parfois en
descendant dans notre cœur profond? La
suite est de Yves Girard et la fin de ma part.
L’athlète
qui entre dans la compétition oublie l’austérité du régime et la sévérité de
l’entraînement pour ne penser qu’à l’éternel couronnement qu’il a mille chances
de ne pas atteindre. Deux jeunes qui
s’engagent pour la vie se laissent bercer par leur rêve de bonheur en oubliant
les incontournables difficultés du chemin qui les attendent. Dans ces deux cas, la richesse de ce que l’on
entrevoit fait oublier les aspérités qui pourraient se présenter en cours de
route et le jour où s’amèneront les passages difficiles, les réserves de joie
accumulées seront là pour aider à traverser l’épreuve. Malheureusement, on dirait que dans notre vie
chrétienne on oublie notre objectif final, ne serait-ce pas parce que nous
oublions que le Royaume de Dieu est déjà parmi nous et qu’il est dans notre cœur
profond, là où nous oublions d’aller de temps en temps?
Bonne
journée.
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