vendredi 23 février 2018

Vendredi, le 23 février 2018

Sur une base de quelques jours, j’aimerais vous parler de l’esprit de pauvre. Pour être pauvre en esprit, il faut être en lien, en symbiose avec les vertus théologales de foi, d’espérance et de charité, cœur de la vie chrétienne.

Oui la foi suppose une certaine forme de pauvreté. Croire, c’est accepter de ne pas toujours voir, de ne pas toujours comprendre, de cheminer souvent dans l’obscurité. C’est avancer en se fiant à un autre, se livrer à une vérité qui nous dépasse et que nous ne maîtrisons pas. C’est entrer dans une forme d’obéissance, fonder sa vie sur la parole d’un autre, se déposséder de soi-même.

Abraham, notre ancêtre et notre père dans la foi, partait sans savoir où il allait. 

Et c’est de Jacques Philippe dans le livre « Le bonheur où on ne l’attend pas ».

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