Sur une base de quelques jours, j’aimerais vous
parler de l’esprit de pauvre. Pour être pauvre en esprit, il faut être en lien,
en symbiose avec les vertus théologales de foi, d’espérance et de charité, cœur
de la vie chrétienne.
Oui la foi suppose une certaine forme de
pauvreté. Croire, c’est accepter de ne pas toujours voir, de ne pas toujours
comprendre, de cheminer souvent dans l’obscurité. C’est avancer en se fiant à
un autre, se livrer à une vérité qui nous dépasse et que nous ne maîtrisons
pas. C’est entrer dans une forme d’obéissance, fonder sa vie sur la parole d’un
autre, se déposséder de soi-même.
Et c’est de Jacques Philippe dans le livre « Le bonheur où on ne l’attend pas ».
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