Aujourd’hui,
nous célébrons la bienheureuse Marie-Anne Blondin. Vous ne la connaissez pas,
je vous en parle un peu.
Elle
apprend à lire et à écrire à 22 ans. À 41 ans, elle fonde une communauté pour
la scolarisation d’enfants pauvres. Après quatre ans de mise en place de sa
communauté, la congrégation des Sœurs de Ste-Anne, elle est dégommée de son
rôle de supérieure par l’évêque de Montréal qui donne raison à l’aumônier et
pendant 36 ans, Sœur Blondin est religieuse aux tâches les plus obscures et ce
dans l’humilité, le pardon et la paix intérieure.
Il
y a des gens qui sont admirables parce qu’ils acceptent la croix lourde de
l’épreuve. L’aumônier et Mgr Bourget ne seront probablement jamais canonisés.
C’est à long terme qu’on reconnaît parfois les grandes femmes et parfois aussi
les grands hommes.
Bonne
journée.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire