Voici
ce que nous dit un sage : N’attendons pas les catastrophes, ni les coups
du sort pour nous attendrir. Nous
pouvons nous approcher de l’autre dès à présent. Qui a dit qu’il fallait nécessairement
attendre que les grands malheurs s’abattent autour de nous pour réveiller notre
compassion?
L’acte
le plus banal peut être empreint d’une immense générosité : la manière de
dire bonjour, la façon de répondre au téléphone, l’attention aux autres. Tout devient exercice spirituel. À l’heure d’enfiler notre pantalon le matin,
nous pouvons simplement nous demander à qui dédier cette journée. Et c’est de trois amis en quête de sagesse page
280. Mon Dieu que ça ressemble à du
Saint Paul et à la voie de l’amour empruntée par la petite Thérèse de
l’Enfant-Jésus.
Bonne
journée.
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