Si
je vous cite les paroles d’un sage à la souffrance, c’est que ces paroles sont
meilleures que les miennes. Lorsqu’on
est confronté à une grande souffrance, il arrive qu’on perde courage et qu’on
sombre dans le désespoir. Mais si l’on
arrive à surmonter cet obstacle, on peut en faire une source d’accomplissement.
Beaucoup
de gens ne disent-ils pas : Je suis sorti grandi de cette maladie. La souffrance n’est jamais désirable en soi,
mais une fois qu’elle est présente, autant mobiliser toutes nos ressources et
tirer avantage de tous nos liens avec autrui pour faire de cette souffrance un
moyen de nous transformer. C’est un peu
comme lorsqu’on tombe à l’eau et qu’au lieu de se laisser couler, on prend
l’eau comme support pour nager et revenir sur la berge.
On
se sert de la souffrance elle-même pour trouver la force de lui faire
face. Une fois que l’on a acquis cette
résilience, nos futures confrontations avec les épreuves ne seront plus les
mêmes. Ce que j’ai appelé un jour
recycler la souffrance et lui faire produire un fruit. Tiré de trois amis en quête de sagesse.
Bonne
journée.
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