Le
Seigneur Jésus n’est pas seulement le point d’arrivée de notre pèlerinage sur
Terre. Il est une présence constante
dans notre vie par l’écoute de sa Parole, par notre rencontre avec lui dans les
sacrements, surtout la présence du frère universel et du pauvre. Notre grande erreur dans notre christianisme
du Québec, c’est d’oublier que le dimanche vaut d’abord par le rassemblement
lui-même.
Une
famille qui ne se rassemble plus, ce n’est pas une famille. Le dimanche, ce
n’est pas d’abord une eucharistie mais des chrétiens qui se rassemblent avec
joie, avec un désir de mieux se connaître pour mieux s’entraider et pour ce
faire, on partage d’abord et avant tout la Parole de Dieu. Si on ne comprend pas cela, la foi chrétienne
va courir un grand danger.
Bonne
journée.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire