Quand
je pense que Dieu a supporté toutes mes limites, tous mes péchés, il m’est
beaucoup plus facile d’être compréhensif, de pardonner. Mais cela ne veut pas dire ce qu’un confrère
me reprochait en disant : on dirait que tu approuves ce que cet homme,
cette femme, a fait. Non je ne crois pas
que j’approuve le mal mais j’ai de la compassion pour le pécheur car je sais
que j’en suis un et je suis bien content de compter sur la miséricorde et la
tendresse de mon Dieu.
Jésus
a fustigé le péché. Il en a porté le poids dans sa chair mais il n’a jamais
écrasé le pécheur du poids de sa perfection infinie. Il a été même jusqu’à dire du haut de sa
croix : Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font.
Bonne
journée.
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