Mardi, le 2 septembre 2025

Je connais mes brebis Jésus se présente souvent à nous comme un berger qui connaît ses brebis et que ses brebis reconnaissent. Regardons trois caractéristiques des brebis. D’abord leur docilité. Mes brebis écoutent ma voix. Les brebis se distinguent par leur écoute et leur obéissance. À notre époque, l’obéissance n’est pas tellement populaire. L’attitude des brebis envers leur berger peut nous inciter à faire preuve d’un peu moins d’obstination. Aujourd’hui, c’est un peu trop le chacun sa vérité et le désir de faire à sa tête. On ne peut pas jeter par-dessus bord la sagesse des peuples, la sagesse de la Parole de Dieu et parfois la sagesse de la Parole de l’Église. Une autre caractéristique de la brebis, c’est qu’elle ne se défend pas. Je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Riposter à l’attaque par la contre-offensive ne fait que provoquer de nouvelles attaques. Nous autres on défend trop de ne pas se laisser manger la laine sur le dos. Parfois c’est mieux de laisser la vérité faire son chemin. La troisième et la plus importante caractéristique des brebis est leur relation personnelle avec le berger. Trois qualités à développer : l’écoute, la non-violence et la certitude profonde d’être aimé et recherché par notre Berger qu’est Jésus. Bonne journée.

Lundi, le 1er septembre 2025

L’ivraie et le bon grain Il n’est pas facile d’arracher la mauvaise herbe sans abîmer en même temps la bonne. C’est ce que nous dit la parabole de l’ivraie et du bon grain. Dans notre vie comme dans celle des autres, il faut travailler surtout à développer ce qui est bon. Les remarques désobligeantes sur les défauts des autres ne font que décourager, tandis qu’un bon mot d’encouragement sur les bons coups de quelqu’un lui permet de se développer. Nous sommes tous faits à l’image et à la ressemblance de Dieu et il y a du bon dans le cœur de tous les humains. Révéler à quelqu’un cette réalité qui est en lui, lui permet de grandir. Plus le bien prend de la place en nous, moins les défauts incommodent les autres. Oui il faut travailler à éradiquer nos défauts mais le travail est long et pénible mais comme il est facile et valorisant de développer ce qui est inné en nous. Si vous cherchez toujours le mal qui est en quelqu’un sans être capable de valoriser ce qu’il a de beau et ce qu’il fait de bien, vous aiderez très peu à faire grandir quelqu’un. On ne doit jamais risquer un reproche si on n’a pas été capable de faire un compliment à quelqu’un. Bonne journée.