Il
nous est difficile de nous ouvrir à la bonté et à la tendresse de Dieu. On a plus de facilité à vouloir emplir nos
greniers de nos bonnes œuvres qu’à croire que le veau gras est déjà préparé
pour notre fête éternelle. L’aîné de la
parabole n’était pas le seul à s’offusquer de la fête exagérée que l’on
organisait autour de ce perdu qui revenait à la maison. Le Prodigue lui-même n’y avait pas cru
puisqu’il nourrissait l’espérance de travailler comme un esclave afin de
pouvoir manger à sa faim.
Nous
aussi nous hésitons à nous jeter corps et âme dans cette dynamique d’une si
déraisonnable fête. Mon Dieu qu’il est
difficile de se laisser aimer par notre Dieu.
Bonne
journée.
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