mardi 4 novembre 2025
Mardi, le 4 novembre 2025
Mes mots du matin sont devenus de plus en plus le fruit de mes lectures et quand je trouve que quelqu’un dit mieux que moi ce que je pourrais dire, je le cite.
Aujourd’hui, je cite André Philippe en son livre « Trois minutes à méditer, page 171 ». Certaines personnes étranges pensent que la non-violence est fade, qu’elle est une perte de piment existentielle que les vacheries agrémentent la vie. C’est peut-être vrai pour elles mais pas pour la plupart des humains. Faire du mal, dire du mal, c’est augmenter la souffrance de tout le monde. Celui qui a reçu le mal, celui qui l’a émis, toute l’humanité se trouve alourdie d’une souffrance qui aurait été évitable, avec un peu plus d’attention, un peu plus d’affection.
Ai-je fait souffrir quelqu’un aujourd’hui? Si oui, pouvais-je l’éviter? En me comportant différemment? En exprimant autrement ce que j’avais à dire? Et le matin, rappelons-nous régulièrement ce souhait, ce programme simple : « Autant qu’il me sera possible, faire du bien et ne pas faire de mal ». Mon Dieu que je trouve qu’il y a de l’évangile dans ces mots d’un psychiatre qui médite et vit en pleine conscience.
Bonne journée.
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