Mon
enfant, tu es toujours avec moi et tout ce qui est à moi est à toi. Pauvre fils aîné, il n’a pas compris que
l’essentiel c’est l’amour et que la grandeur de l’existence d’un père et d’un
fils, c’est d’être l’un avec l’autre.
Bien
sûr que le père de la parabole ne partagera pas à nouveau le bien familial. Le
cadet a eu sa part. Qu’il se sente aimé et pardonné, c’est l’essentiel. Ce sera
à lui maintenant de gagner sa vie et de ne pas s’attendre qu’il puisse vivre
maintenant sur les biens acquis par le père et le fils aîné.
Le
fils aîné n’a pas compris qu’il était non pas le serviteur mais l’enfant
bien-aimé de son père. Et pour lui, c’est le matériel qui compte et il a
probablement eu peur d’un nouveau partage des biens matériels alors qu’il n’y a
eu pour le père que la joie d’un amour retrouvé.
Bonne
journée.
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