Boris
Van nous dit : Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le bonheur de tous les
hommes, mais le bonheur de chacun. Et ce
bonheur pour chacun, je peux y arriver dans mes relations harmonieuses avec
ceux et celles qui m’entourent. Oui je
peux rêver au bonheur de tous les humains, je peux prier pour que mes frères et
sœurs africains soient attentifs les uns aux autres. Mais la réalité dans laquelle je vis, c’est
d’être accueillant avec ce prêtre colombien avec qui je vis, avec ceux et
celles que je rencontre au jour le jour.
Un sourire, un bon mot d’encouragement, une félicitation, un coup de
pouce à quelqu’un dans le besoin, une visite à un malade, voilà le bonheur que
je peux apporter à l’un ou l’autre de mes frères et sœurs. Oui je peux vouloir le bonheur de mes frères
et sœurs japonais, mais le sucre à la crème de la vie c’est avec ceux avec qui
je vis que je peux le partager.
Bonne
journée.