Adoucir le chagrin d’autrui, c’est oublier le sien. Et c’est de Abraham Lincoln, un des présidents des États-Unis et c’est vrai de chacun de nous. La mère de famille monoparentale qui s’occupe bien de ses enfants oublie parfois les jugements négatifs qu’on porte sur elle. Le prêtre qui visite ses malades ou qui prépare bien ses homélies oublie ses ulcères d’estomac. Le professeur dévoué pour ses élèves oublie de jeunes indisciplinés qui lui causent beaucoup de troubles. L’ouvrier qui s’occupe de ses confrères de travail oublie une remarque désobligeante de son patron.
Adoucir
le chagrin d’autrui c’est oublier le sien. Quand on pense aux autres, on oublie
nos bibittes qui nous achalent. Aujourd’hui, pensez peu à vous, pensez beaucoup
aux autres et vous reviendrez à la maison heureux, heureuses.
Bonne journée.
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