Ce
que le pape nous demande, il se le demande. Il parle souvent en termes de
« Je ». Quand je médis,
dit-il, quand je fais une critique injuste, quand j’écorche un frère avec ma
langue, tout cela, c’est tuer la renommée de l’autre. Les paroles aussi tuent. Faisons attention à cela.
Ce
« Je » du pape François, je me l’attribue à moi aussi car il m’arrive
à moi aussi de manquer à la charité de mes frères et ce n’est qu’après m’être
reconnu pécheur que je peux dire avec le pape : faisons attention à cela.
Bonne
journée.
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