Heureux
ceux et celles qui savent pardonner et qui ont de la miséricorde pour les
autres, qui ne jugent pas tout le monde mais qui cherchent à se mettre à la
place des autres. Et c’est de François,
notre pape.
N’a-t-il
pas dit un jour : Qui suis-je pour juger?
N’a-t-il pas dit un jour : Si j’avais été à la place de ce
prisonnier, il se peut bien qu’au lieu d’être pape je serais moi-même en
prison.
Qu’as-tu
que tu n’aies reçu et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifier comme si tu ne
l’avais pas reçu? Avant de regarder la
paille dans l’œil de nos frères et sœurs, regardons la poutre dans notre
œil. Le pardon que nous ne donnons pas
alors que nous avons tant reçu et tant de fois récité le « Notre
Père » est plus grave que le divorce de ce couple qui n’a jamais compris
ce que c'est que de conjuguer son amour au présent.
Bonne
journée.
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