La
compassion suppose que nous désapprenions cette dureté de cœur qui fait le
procès des autres, que nous apprenions à être vulnérable à leurs souffrances et
à leur désarroi, que nous entendions leurs appels à l’aide. Et c’est de Timothy
Radcliffe.
Quand
on prend conscience de la poutre qui est dans notre œil, on ne fait jamais le
procès des autres. Quand je sais que le
ménage de mon trottoir n’est pas fait, je ne demande pas aux autres de faire le
leur. Quand nous nous sentons
vulnérables, il nous est plus facile d’être des êtres de compassion.
Nul
ne connaît rien à la vie s’il n’a déjà souffert. Écouter les appels à l’aide même quand
quelqu’un ne parle pas, c’est là le signe d’un cœur rempli de compassion.
Bonne
journée.
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