Gilbert
Adam nous dit : Nous ne sommes jamais aussi libres que quand nous
répondons oui à Dieu.
On
s’imagine trop souvent que la liberté c’est la possibilité de faire n’importe
quoi n’importe quand. Ma liberté ne
m’autorise jamais à déranger le père et la mère qui dorment au premier étage
par ma musique trop forte au sous-sol.
Ma liberté finit quand celle de l’autre commence. Il y a la liberté
individuelle et la liberté commune. Je
n’ai pas la liberté de conduire à 150 kilomètres à l’heure sur
l’autoroute. Le bien doit être fait, le
mal doit être évité. Ce n’est pas sûr
que la liberté civile soit toujours acceptable à ma conscience. Les lois sur l’avortement, sur l’aide
médicale à mourir doivent passer par la moulure de ma conscience personnelle et
par la distinction entre loi civile et loi morale.
Bonne
journée.
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