Ce
matin, j’écoute ce grand philosophe théologien qu’a été Jacques
Grandmaison. Je l’écoute nous
dire : Rien ne peut nous arracher à cet horizon d’espérance que Dieu a
ouvert pour réenchanter notre vie ici-bas et au-delà. Il y a en nous un désir d’absolu, un désir
d’amour, de liberté, de paix, de bonté qui nous enchante, nous interpelle, nous
donne des ailes pour aller plus haut et plus loin.
Nous
avons une soif de bonheur à nous en couper le souffle. Il nous faut entendre de temps en temps cet
appel à l’infini, à l’éternel, au beau, au bien, au bon, au vrai. Nous ne sommes pas des animaux de basse-cour
mais des aigles qui volent vers les grands espaces. « Pâques, printemps de Dieu. Pâques,
printemps du monde. Pâques, printemps du cœur. Pâques de Jésus-Christ. »
Bonne
journée.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire